En bref, quelques éléments à retenir :
Les préoccupations de l’an passé sont toujours présentes et se sont même renforcées.
Un surcharge de travail (plus de 48h par semaine). Cela prend en compte le temps de classe, de préparation, de correction et le poids de l’évaluation pour ceux qui sont à l’ESPE.
Des stagiaires qui se disent insuffisamment préparés à prendre la responsabilité d’une classe (85,9 %), à gérer la difficulté scolaire et l’hétérogénéité.
Des stagiaires qui se sentent toujours aussi débordés (66,3%) et stressés (64%).
Des stagiaires, qui pour plus d’un quart n’ont pas vu de classe avant leur première rentrée.
40,5 % des stagiaires entre eux déclarent ne pas avoir suivi de master d’enseignement avant l’obtention du concours et leur mi-temps en classe.